Pour un retour, c'est un sacré retour ! Bravo pour cet article, qui reflète complètement ma pensée. Et soit-dit en passant : bonnes vacaaaannces ! Répondre
tu as raison, il faut écouter son coeur et faire ce qu'on pense bien pour le bébé… se renseigner, lire, oui, mais suivre à la lettre, pas forcément 🙂 Répondre
Je suis d'accord avec le fait de pouvoir choisir sans être jugée. Je voudrais pouvoir profiter de mes enfants sans me faire traiter de feignasse qui veut pas aller bosser et retourner travailler sans culpabiliser de laisser mes enfants. Après pour le discours moralisateur des bouquins, c'est peut être dû au fait que beaucoup de gens se complaisent maintenant dans la facilité pour élever leurs enfants, comme toujours dire oui à tout pour ne pas qu'il pleure, ce genre de choses. Et du coup, les bouquins accusent ce problème en culpabilisant les parents, ce qui n'est pas non plus une bonne solution. Répondre
Moi j'aimais bien Rufo quand il dédramatisait tout. Il utilisait beaucoup la technique de la rupture, et il permettait de regarder en dehors du problème. Ca faisait un peu de bien et on repartait d'un bon pied. Mais ses conseils à l'emporte pièce sur la poitrine de la femme qui appartient à papa et pas à l'enfant, les notions de perversions tout ça…ça m'a vite agacée aussi… Il faut dire que ça correspond bien à la génération de nos parents et d'Elisabeth B., tout ça, qui croient que l'émancipation de la femme passe par là. En plus tout ça est très ethno centré. Si l'allaitement un peu plus long est une perversion, alors le monde entier est perverti, au secours !! Enfin, tu sais ce que j'en pense, et là je sens bien que je suis toute décousue. Ce que je voulais ajouter aussi, c'est que donner des conseils, construire de théories, c'est un moyen d'écrire des livres. Si ils disaient "suivez votre instinct" ils n'auraient pas besoin d'en réécrire un autre. Répondre