je dévore les livres sur l’éducation des enfants, les conseils ect…j’adore ca, mais en général ce sont mes amies qui me les prêtent, parce que bon ce n’est pas donné tous ces ouvrages, par contre, celui la il me plaît bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!il est abordable alors je retiens l’idée, merci! Répondre
En plus, celui là n’est pas excessif! Moi en général je les emprunte à la biblio… Sinon ça devient vite un budget! Répondre
Je partage ce point de vue qui permet de s’excuser auprès de nos enfants quand on réalise qu’on s’est trompé ou qu’on a mal réagi. Et après on peut en discuter. Ca montre à nos enfants qu’on n’est pas des robots, et les décomplexe aussi face à leurs propres erreurs. Répondre
J’aime bien. Perso, je m’excuse relativement souvent car j’ai tendance à m’emporter au moins une fois par semaine et ma puce a pris la même habitude: elle vient me voir pour me dire : « écuse moi Maman, j’a fait une betise …. ». Je craque à chaque fois! Répondre
Merci pour le conseil, ton résumé donne envie de se le procurer. Je n’ai rien lu pendant ma grossesse et j’ai commencé à ouvrir un livre quand Rafaël a eu un an, sans grande conviction. On m’a conseillé dernièrement « tout se joue avant six ans » et je n’ai pas réussi à le lire, même en zappant des chapitres entiers, trop psy, trop loin de la réalité, trop coach, bref trop de trop. Répondre
Je connais cette auteure par d’autres ouvrages…je trouve qu’elle est assez pragmatique, et facile à lire et à comprendre…ce qui est agréable ! Répondre
Le concept de l’adulte omniscient est un vrai problème dans notre société, et c’est encore plus vrai en milieu scolaire. La maîtresse ne peut pas ne pas savoir, ne peut pas avoir tort. C’est pourquoi, quand l’adulte est mis en situation « dangereuse » où il risque de s’avouer plus « faible » qu’on ne le pense, il décide alors de ne pas risquer « sa place » et d’esquiver le danger. A l’école, c’est vraiment flagrant. Il y a encore trois ans j’étais intervenante musique en milieu scolaire. J’invitais, systématiquement, les instits à participer aux activités. J’amenais toujours des instruments manufacturés en classe, sur lesquels nous travaillons l’exploration sonore: permettre aux enfants de créer du son sans forcément « savoir » jouer de l’instrument en question (violons, guitares, tambours, parfois trompettes, flûtes…bref, des vrais instrus quoi, pas seulement des triangles et des tambourins), et créer de vrais morceaux de musique avec tous ces matériaux sonores trouvés au fil des séances. Dans la plupart des cas, la réponse des instits était à moitié étouffée en début de séance entre deux portes genre « ah non mais moi je fais pas ça devant les élèves, je sais pas faire! ». En fait, toute l’année, un des objectifs secrets des séances de musique était de ramener le maître au niveau de l’élève, justement parce que la pratique artistique permettait aux enfant comme à l’adulte d’être tout aussi débutants. Lui faire accepter qu’il pouvait fort bien se retrouver avec eux en situation d’apprenant et que, même, un élève pouvait lui apprendre des choses. Cela s’est passé plusieurs fois: un enfant qui trouvait un son intéressant au violon (avec une corde pincée par exemple), pouvait tout à fait montrer au maître comment il avait fait, pour que le maître reproduise ensuite. Et une fois que cette relation s’était inversée, que le maître avait accepté de lâcher prise et de baisser les armes, d’avouer qu’il ne savait pas tout faire et qu’il ne connaissait pas tout, et que même un enfant pouvait lui apprendre à faire des choses, alors la vie du groupe classe était définitivement transformée et la relation à l’apprentissage complètement repensée. Punaise comme j’ai adoré faire ce boulot. Ca me manque, des fois, notamment quand j’en parle comme ici 🙂 Répondre
Coucou J’aime beaucoup cette façon de voir les choses et j’essaie au mieux d’accompagner mes enfants comme ça… Comme tu le dis « accompagner l’enfant dans ses capacités » je trouve ça très « beau » finalement. Cependant, la société est ce qu’elle est et là où je mettrais un bemol c’est ici : »…et non lui imposer ce qu’une société normative a décidé qu’il était important ». Peut être est ce à cause de mon vécu et mes expériences, mais j’ai envie que mes enfants puissent s’intégrer dans cette société « facilement », pour pouvoir vivre bien, avoir le choix (dans leur travail, leur façon de vivre etc…) et pour ça il faut à mon avis se plier à certaines choses imposées par la société… Je ne sais pas si je suis très claire !! Disons que j’adhère parfaitement à l’idée d’accompagner son enfant dans ce qu’il est, mais je pense qu’il faut aussi apprendre à s’intégrer dans cette société et de fait, se plier à certains trucs (le français et les maths sont importants, même si mon enfant devient tennisman :/). Parce que c’est comme ça. Je ne dis pas que c’est bien et que j’adhère totalement, mais je veux que mes enfants se sentent bien parmi les autres dans la société que l’on a aujourd’hui. (oui oui ça me travaille beaucoup le rôle de parent :p)(mais j’avoue qu’un bouquin qui fait déculpabiliser c’est aussi bon à prendre !!) Répondre
Ce n’est pas facile de faire la part des choses… Mais je suis d’accord, on doit aussi apprendre à l’enfant à s’adapter à notre société, bien sur!! Mais je crois que la confiance est la meilleure chose qu’on puisse lui offrir afin « d’affronter » le monde… 🙂 Répondre