Tu as bien du mérite,quelle galère!C’est vrai que pour « 4 » stations c’est bien plus sympa de prendre le métro et vraiment l’attitude des gens est hallucinante!Je n’ai pas eu trop de soucis à Paris,bon je ne prends pas le métro tous les jours avec mes enfants mais j’ai toujours trouvé quelqu’un qui se propose à porter la poussette avec moi (sans demander même,si si!) et eu de la place mais je vois souvent quand une poussette entre que ça emmerde les gens (comme une personne âgée,handicapée ou une femme enceinte,ça stresse les gens qui se disent qu’ils vont devoir partager leur petit confort…).Sinon côté pratique tu es obligée de mettre Noisette dans une poussette,elle ne peut pas marcher en tenant la main de sa soeur?Allez courage bientôt ils seront tous plus autonomes 😉 Répondre
Merci!! Non pour l’instant, Noisette est encore trop petite. J’ai tenté le retour à pieds hier (Pépin dans la poussette, Noisette dans une main, MissCouette dans l’autre), ça s’est très bien passé! Mais c’était dans le bus, et ça change vraiment la donne (même si les gens y sont tout aussi cons que dans le métro) parce que le trajet est sensiblement différent et c’est le soir, on s’arrête au parc, on n’est pas speed comme le matin… Bientôt, je pourrai prendre Noisette dans une main et Pépin dans le dos! Mais je vais devoir attendre encore quelques mois je pense… Répondre
Si les gens ne sont pas content de voir du monde dans le métro, c’est eux qui doivent prendre leur voiture et pas toi. Je circulais en tram avec une poussette double et les gens n’avais pas interêt à me faire une réflexion car il allait m’entendre. Les parents de jeune enfants sont prioritaire pour les places assises! Une fois c’est le chauffeur du bus qui a dû le rapeller à une dame pas si vieille que ça! Pour les horaires, tu n’as pas vraiment le choix puisque tu dois aller à l’école (jusqu’à preuve du contraire il y a des horaires imposées, non?) Souris aux aigris et passe de bons trajets en métro. Bises Répondre
Les gens ont un peu la mémoire courte tout de même. ….puisqu’ils ont oublié que forcément à un moment donné de leur vie….Ils ont aussi été « petits » et en poussette!!!!! L’égoïsme règne, il ne faut surtout pas dérangé avec nos enfants ou avec nos animaux ou avec nos différences. … j’habite la campagne et n’ai pas besoin de prendre de transport en commun et y vais à pied par tous les temps à l’école (suis assistante maternelle ) mais j’ai 3 enfants, tous dys dont 2 sévères et la méchancetés des gens ont doit la gérer tous les jours… Bon courage et basta les gens! Répondre
Bonjour, Il y a et il y aura toujours des personnes mécontentes. Tout le monde a le droit de prendre les transports en commun à toute heure quand même! J’ai de plus en plus de mal avec l’intolérance, le non respect et l’égoïsme dont peuvent faire preuve certaines personnes, certes prises dans leur quotidien et leurs contraintes personnelles, mais comme tout le monde. Personnellement, ma difficulté de cette rentrée scolaire est le fait qu’à cause du plan Vigipirate (certes nécessaire, bien sûr), l’accès au parking de l’école est interdit. On doit donc se garer sur un parking plus loin. Et sortir ma petite de la voiture pour accompagner la grande, marcher quelques minutes près d’une route très passante est compliqué car ma grande est dans une phase « je ne veux pas donner la main ». Bref, ambiance un peu tendue en début et fin de journée. Bonne journée! Répondre
Je suppose que tu connais la fable de La Fontaine : le meunier, son fils et l’âne : http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/fablesit/meunfils.jpg C’est exactement cela (presque 400 ans plus tard). Quoi qu’on fasse, les gens critiqueront toujours. L’essentiel c’est de faire ce qui t’arrange le mieux (ou te dérange le moins). Les gens s’adapteront. Qu’ils aillent se faire voir sinon ! Répondre
Mais tu as le droit d’être dans ce foutu métro, te laisses pas faire par cette masse de personnes égoïstes et mal élevées. Moi quand je vis une situation injuste je pense au karma… tout ce que l’on fait se paie un jour. Laisse les gens de mauvaise humeur râler dans leur coin parce que tu prends trop de place avec ta poussette et ton loulou dans le dos. A ta place je serai fière d’être là dans le métro à profiter de tes bébés alors qu’eux s’en vont tristement vers leur boulot. Te laisse pas abattre 😉 En attendant j’aide toutes les mamans en difficulté que je rencontre et maintenant que je te lis je pense automatiquement à toi. Bonne journée. Répondre
Je rebondis sur ton coup de gueule contre l’incivisme et le manque d’éducation des gens dans le métro, pour parler de ce même comportement, aux caisses du supermarché! Je suis enceinte de 3 mois 1/2, j’ai un ventre énoooorme (c’est mon 2e), et personne ne me laisse passer, à la caisse prioritaire ou aux autres! Je mets toujours un point d’honneur à laisser passer devant moi les gens qui ont un article ou deux quand j’ai un panier plein, même enceinte, et je n’ai parfois pas même un merci… pfou, c’est dur parfois! Répondre
C’est fou ça. c’est comme quand tu es enceinte et que tout le monde fait semblant de ne pas te voir…j’ai même du me lever une fois pour laisser ma place à une vieille dame alors que j’étais enceinte et que j’avais mon aînée sur les genoux…elle m’a houspillé gravement parce que j’avais un peu tardé à le faire et que les jeunes pouvaient bien être debout… Répondre
Moi aussi, enceinte ça m’est arrivé de me faire reprendre par une personne âgée… Mais je ne me suis pas laissée faire, allant jusqu’à citer le règlement de la RATP qui précise bien que la femme enceinte ou accompagnée de jeunes enfants est prioritaire sur les personnes de plus de 75 ans 🙂 Mon mari s’est même disputé une fois avec une femme qui refusait d’enlever son sac d’une place prioritaire, alors qu’il voulait s’assoir avec notre fils ainé en porte-bébé…. Répondre
Merci pour cet article !!! Parfois, on a l’impression d’être seule à subir ce genre de situation… Pour ma part, je vis à Paris. Fort heureusement, je n’ai pas à prendre le métro si souvent que ça (on ira à la crèche à pieds – ça démarre en novembre). Mais quand on veut visiter Paris, aller au restaurant, présenter babychou à nos travails respectifs, etc., il faut bien prendre le métro… (les gens répondraient : vous avez qu’à aller au restaurant dans votre ville, là où moi je réponds : ça ne sert à rien de vivre en région parisienne et payer les prix de l’Ile de France si c’est pour ne même pas aller dans Paris). B on, c’est notre premier bébé pour le moment, ça facilite la démarche. Mais je te confirme : les gens détestent la poussette dans le métro, et je trouve ça scandaleux (tout comme ils détestent les femmes enceintes, hein). Pas un ne se pousse. J’ai appris, au début je détestais ça, je me sentais mal et pas à ma place, mais grâce à mon mari, j’ai appris. Aujourd’hui, je-m’en-fous totalement ! Et je pense que les gens le voient, car ils n’osent pas me faire une seule remarque (et ils n’ont pas intérêt, même pas d’essayer). Bon, après, il y a toujours les regards… mais le mien non plus n’est pas tendre, si jamais je croise des yeux noirs. Tu as le droit de prendre le métro, tu fais comme tu peux, toi aussi tu galères, et ce n’est pas comme si vous alliez au musée sur les heures du travail ! Flûte hein ! Répondre
Comme je te comprends… Mon gros stress, c’est le métro aussi, et aller avec mon fils à l’hôpital Necker pour son suivi. La poussette je gère à peu près, mais les escaliers… j’ai toujours toujours peur de ne pas trouver quelqu’un qui va m’aider à la porter et d’avoir à tout porter toute seule. Sachant que la station où je descends près de Necker est une station aérienne… sans ascenseur… Il y avait eu une pétition il y a quelques années pour que les 4 stations proches de Necker soient équipées d’ascenseur, on parle quand même d’un hôpital pour les enfants hein, mais non… Et là, j’attends des jumeaux, donc je vais bientôt me retrouver avec 3 enfants de – de 3 ans à gérer, et je n’ose même pas imaginer comment vont se passer les trajets ! Donc oui, c’est « rien » d’être « juste » à 4 stations de métro ou ce genre de choses, mais la logistique elle, ce n’est pas si simple que ça ! Répondre
Comme tu dis!!! Je te souhaite beaucoup de courage, je ne vais pas te dire que ça va être simple avec 3 petits… Et encore, je suis à Toulouse, tout est sensiblement plus simple qu’à Paris… Et j’en ai une de 6 ans, donc ça va encore… Mais on gère, on n’a pas le choix!! Plein de courage à toi aussi! Répondre
Et bien justement, l’un des projets après la naissance des petits sera le retour dans nos contrées toulousaines 😉 Et effectivement, j’espère que les choses seront (un peu) + simples… En tout cas, moins stressante que la vie parisienne ! Répondre
Bonjour la mite orange ! Je lis « religieusement » tes articles et commente rarement mais pour une fois je me lance ! J’ai ressenti exactement la même chose que toi dans une situation toute différente : quand je me suis retrouvée à Paris en béquilles (entorse du genou) dans les transports…Bonjour l’angoisse ! Je ne te raconte pas le nombre de gens qui me bousculaient, je me suis retrouvée un nombre de fois pas possible debout dans le bus etc etc. Et au bout d’un moment j’ai dit stop. J’ai réclamé la place assise aux gens qui n’en avaient pas besoin, j’ai même filé des coups de béquilles pour passer… Alors continue ta méthode de « fonçage dans le tas » avec le sourire et sans remords !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Les gens se pousseront ET PUIS C’EST TOUT !!!!!!!!! TU AS RAISON !!!!!!!!!!!!!!! Répondre
J’ai eu une période en béquilles il y a quelques années, tu me remémores de drôles de souvenirs!! 😉 J’ai beaucoup de compassion pour ceux dont c’est le quotidien à vie… Ils doivent sacrément s’affirmer!! Merci à toi Hélène! 🙂 Répondre
Oh mon Dieu, comme je me reconnais dans ton article haha. Surtout que grâce à toi, j’ai une super Bugaboo Donkey qui est tellement pratique au quotidien avec deux enfants de 16 mois d’écart… Et oui, les gens ne sont jamais contents, rien n’est jamais assez bien pour eux, ils ont toujours une meilleure solution que toi, stupide mère de famille encombrante… Tout ça me rappelle cette délicieuse fable de La Fontaine: J’ai lu dans quelque endroit qu’un Meunier et son Fils L’un vieillard, l’autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j’ai bonne mémoire, Allaient vendre leur Âne un certain jour de foire. Afin qu’il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet Homme et son Fils le portent comme un lustre ; Pauvres gens, idiots, couple ignorant et rustre. Le premier qui les vit de rire s’éclata. Quelle farce (5), dit-il, vont jouer ces gens-là ? Le plus Âne des trois n’est pas celui qu’on pense. Le Meunier, à ces mots, connaît son ignorance. Il met sur pied sa Bête, et la fait détaler. L’Âne, qui goûtait fort l’autre façon d’aller, Se plaint en son patois. Le Meunier n’en a cure; Il fait monter son Fils, il suit : et, d’aventure Passent trois bons Marchands. Cet objet leur déplut. Le plus vieux au Garçon s’écria tant qu’il put : Oh là oh, descendez, que l’on ne vous le dise (6), Jeune homme qui menez Laquais à barbe grise ; C’était à vous de suivre, au Vieillard de monter. Messieurs, dit le Meunier, il vous faut contenter. L’enfant met pied à terre, et puis le Vieillard monte, Quand, trois filles passant, l’une dit : C’est grand honte Qu’il faille voir ainsi clocher ce jeune fils, Tandis que ce nigaud, comme un évêque assis, Fait le veau sur son Âne et pense être bien sage. Il n’est, dit le Meunier, plus de veaux à mon âge. Passez votre chemin, la Fille, et m’en croyez. Après maints quolibets coup sur coup renvoyés, L’Homme crut avoir tort et mit son Fils en croupe. Au bout de trente pas, une troisième troupe Trouve encore à gloser (7). L’un dit : Ces gens sont fous! Le Baudet n’en peut plus, il mourra sous leurs coups. Hé quoi, charger ainsi cette pauvre Bourrique ! N’ont-ils point de pitié de leur vieux domestique ? Sans doute qu’à la foire ils vont vendre sa peau. Parbieu, dit le Meunier, est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père. Essayons toutefois, si par quelque manière Nous en viendrons à bout. Ils descendent tous deux. L’Âne, se prélassant (8), marche seul devant eux. Un Quidam les rencontre, et dit : Est-ce la mode Que Baudet aille à l’aise et Meunier s’incommode ? Qui de l’Âne ou du Maître est fait pour se lasser ? Je conseille à ces Gens de le faire enchâsser (9). Ils usent leurs souliers et conservent leur Âne : Nicolas au rebours ; car quand il va voir Jeanne, Il monte sur sa bête ; et la chanson le dit. (10) Beau trio de Baudets! Le Meunier repartit : Je suis Âne, il est vrai, j’en conviens, je l’avoue ; Mais que dorénavant on me blâme, on me loue ; Qu’on dise quelque chose ou qu’on ne dise rien, J’en veux faire à ma tête. Il le fit, et fit bien. Quant à vous, suivez Mars, ou l’Amour, ou le Prince ; Allez, venez, courez ; demeurez en province ; Prenez femme, abbaye, emploi, gouvernement : Les gens en parleront, n’en doutez nullement.(11) Bonne journée ma belle! Répondre
Si je peux apporter un petit témoignage : mes filles sont scolarisées à côté de la maison désormais, mais pendant trois ans j’avais une (ou deux) places en crèche dans Paris, près de mon ancien travail, tout en vivant en banlieue, donc je faisais les trajets en RER et métro avec ma grande sa première année, avec ma grande + mon bidon de femme enceinte la deuxième année, et avec mes deux filles la troisième année. Ce qui me prenait 25 minutes seule était beaucoup plus long le soir avec les deux, mais bon on était quand même moins speed le soir. Je prenais la ligne 6, donc pas d’ascenseur et escalator bien trop étroit pour une poussette, donc on a jamais eu de poussette à la maison. Donc la première année je portais (ventre puis dos), la deuxième année j’ai porté jusqu’à 5 mois de grossesse puis la grande a dû marcher (elle avait tout pile 2 ans), la troisième année je portais la petite (ventre puis dos) et la grande marchait. Je pense que le problème c’est vraiment le regard que les gens portent sur la poussette, car de mon côté, j’ai beau n’avoir croisé que des parisiens, je n’ai jamais eu de remarque désobligeante de la part des passagers, ni même un regard noir. Très souvent on m’a offert une place, on a proposé un bout de pain ou une friandise à ma plus grande, même une fois quand elle s’est coincé la main dans la porte une dame m’a dégainé le tube d’hémoclar. Bon je ne te cache pas que tout cela prenait beaucoup de temps (et ça aurait été encore nettement plus long en voiture, tout comme toi), et que j’ai été bien contente quand les deux ont été scolarisée à côté de la maison! Désormais on fait tout à pied ou à vélo (et j’attends le troisième, en croisant les doigts pour trouver un mode de garde près de la maison cette fois ci!). Une suggestion peut-être: pépin dans la poussette compacte et Noisette sur une planche à roulette fixée à la poussette? Ca prend peut-être un chouilla moins de place qu’avec Pépin dans le dos? Répondre
Merci pour ton témoignage! Non je pense que ça prend moins de place avec Pépin dans le dos… Et ce n’est que l’affaire de quelques mois, d’ici peu, Noisette pourra faire le trajet à pieds (on attend qu’elle soit prête) et là, bye bye poussette!! 😉 Répondre