C’est exactement ça, cette part de mystère et d’incompréhension, alors que son père trouve ça tout à fait normal, parce qu’il a lui aussi vécu les mêmes choses… Répondre
Je n’ai qu’un garçon alors je ne peux pas comparer mais ce qui est troublant c’est que je me vois/reconnais totalement en lui. Répondre
Moi qui n’ai « que » deux enfants mais un garçon et une fille, j’avoue que j’ai du mal à dire si ça change quelque chose ou non. Ils ont des points communs mais sont différents en même temps et je n’arrive pas à savoir si leurs différences sont dues à leur caractère, à leur sexe ou à la manière dont je me projette sur eux… Probablement un peu des trois. Je n’ai pas l’impression de me projetter plus sur ma fille que sur mon fils mais sait-on jamais ? Peut-être qu’il m’en faudrait plusieurs modèles de chaque pour commencer à faire des statistiques ^_^ (mais je crains fort que mon quota de nuits pourries soient épuisées !!). Juste pour rebondir sur l’article où tu parlais de tes relations avec ta mère… Je te trouve bien courageuse car les constats que tu fais sont très durs à vivre et finalement, 35 ans ce n’est pas si vieux pour s’en rendre compte. Certain(e)s cherchent toute leur vie l’amour et la protection de leur mère. Ma belle-mère m’a dit à la mort de sa mère « elle ne m’a jamais dit je t’aime ». Elle avait 65 ans (ma BM) et attendait toujours. Quoique tu décides, tu commences à t’affranchir de son regard et c’est bien le plus important. Répondre
Comme Delphine, je n’ai qu’un fils et je me reconnais aussi pas mal en lui. On se ressemble beaucoup physiquement et on partage des traits majeurs de nos personnalités. Le fait qu’il soit né garçon n’a guère d’incidence à mes yeux. Il ne m’est jamais apparu mystérieux parce que garçon et je ne me suis jamais demandé si je « saurai faire » parce qu’il était garçon plutôt que fille. Pour moi, les différences sont plutôt dans nos cheminements de mère (d’un 1er enfant, d’un premier fils, etc), dans ce qu’on projette, plutôt que dans le fait que l’enfant soit garçon ou fille… Répondre
ps. J’ai oublié la seule chose vraiment intéressante : Mister Pépin est un chou absolu ! ^-^ Même par écrans interposés ! Répondre
Moi aussi je suis comblée d’avoir les 2. Avec un petit mec il y a une dimension un peu différente. Amoureuse n’est pas le bon mot mais un peu quand même. Ça ne veut pas dire que j’aime moins mes filles hein. Juste que le rapport n’est pas tout à fait le même… Répondre
Comme Delphine, je me reconnais dans chacun de mes fils, et je n’ai jamais ressenti cette part de mystère dont tu parles. Bizarrement je pense que je la ressentirai si j’avais eu une petite fille comme dernier bébé car avec les garçons je me sens en terrain connu et ce depuis l’empereur. Etrange madame Zaza 😉 Répondre
C’est peut-être juste ça, la part de mystère… Avoir un bébé d’un autre sexe que ses ainés… Moi aussi je me reconnais dans mon fils, mais c’est différent. Ca n’est pas explicable. Répondre
J’aime beaucoup ton regard. C’est un question que je me pose : et si on avait/ avait eu un garçon? je pense aussi que le gros changement serait que je me sentirai complètement face à un inconnu (même si avoir des filles n’implique pas de les comprendre tout le temps!!) Répondre
Peut-être que si j’avais eu 3 garçons et une fille en dernier, mon regard serait le même, cet inconnu là, je ne sais pas… En tout cas il me fait fondre, il y a quelque chose de l’ordre de la fascination quand je le regarde… Répondre
J’étais comme toi tellement convaincue d’avoir encore une fille la surprise et un peu d’inquiétude à l’annonce J’ai hâte de savoir ce qui m’attend <3 Répondre
Pépin est adorable en effet 🙂 C’est drôle que tu ressentes cela ainsi. Pour ma part je ne me suis jamais dit que les émotions, les sentiments d’un enfant si petit étaient différents selon qu’il était un garçon ou une fille. J’ai 2 filles et 1 garçon (au milieu) et à vrai dire pour l’instant en dehors de leur attirance pour les jouets genrés (grrrrrrr), je ne vois pas de différences liées à leur sexe. Ils ont chacun leur personnalité ça c’est sûr, leurs besoins et leur caractère mais mes 2 filles sont aussi différentes l’une de l’autre que mon garçon. Répondre
Je ne pense pas que son caractère diffère de celui de ses soeurs… PAs parce qu’il est un garçon du moins… C’est plus une infime perception, quelque chose d’impalpable. Et, bien sur, aussi, tout ce que je projette sur lui qui est très différent, que je le veuille ou non. Répondre
pour ma part je n’ ai eu que des soeurs et ça a été loin d’être facile quand nous avons grandit. Beaucoup de compétitions entre nous, mais aussi dans le regard des gens. Ma mère a finalement toujours alimenté cette compétition, avoir des filles était une sorte de victoire.. J’ ai aujourd’hui deux garçons et j’ai la chance de me sentir « exceptionnelle » à leur yeux , n’étant que leur seul repère féminin. Quand j’entends des personnes me demandaient régulièrement » un petit troisième pour la fille »…et bien non. Pour ma part, avoir des garçons a été salvateur. Vive les babys boys. Répondre
C’est amusant ce que tu lis, je me rends compte que ce côté « on ne vit pas la même chose » me plait beaucoup avec mon aîné, et c’est sûrement la raison pour laquelle finalement je suis contente d’attendre deux garçons avec les jumeaux plutôt que deux filles (qui était une combinaison qui vraiment me faisait un peu peur)… Étonnant ! Répondre
Ce qui change principalement entre avoir un garçon et une fille, c’est surtout ce qu’on y projette soi-même. Si on y voit une différence, alors il est très possible que cette différence finisse par apparaître. Mais en vrai… ? Nos enfants sont des éponges avant tout. Et ce, qu’ils soient garçon ou fille… Répondre
Je suis entièrement d’accord! J’ajouterai que ce qui change, quand ils grandissent, c’est ce que la société projette sur eux, les enseignants, les autres enfants, etc… Ca m’angoisse un peu s’agissant de mon garçon. Nos filles ont tendance à être calmes et posées, je pense que notre fils a ce tempérament aussi, mais je crains que l’école ne modifie sensiblement sa façon d’être… On verra bien! Répondre