Et bien moi, j’ai juste envie de te dire bravo! Bravo d’avoir réussi à exprimer tout cela et d’avoir réussi à supporter autant de souffrances liées à ton corps et de pouvoir encore rebondir! Moi je suis sûre que tu vas réussir. Je ne parle pas de réussir à maigrir mais de réussir à t’aimer comme tu es, en tout cas à t’accepter et à voir ta beauté. Et je suis d’accord, pour aimer son corps, il faut déjà s’aimer soi-même… C’est sûr, c’est difficile mais tu as déjà fait un tel chemin dans tes réflexions que tu y arriveras! Quant aux gens qui jugent… peut-être que c’est une façon de se rassurer eux-mêmes… Répondre
Merci Emeline. J’espère y arriver, je crois que je suis prête à faire le chemin en tout cas. 🙂 Répondre
C’est tellement rassurant de lire que tu es sur une voie qui correspond à tes choix, tes envies… J’aimerais pouvoir me raisonner, mais le chemin à parcourir reste long. J’ai vu la même diététicienne que toi, 3 ou 4 fois. Mais j’ai abandonné, cela remuait trop de choses en moi, et je crois comme tu le dis, que cela me donne l’envie de me jeter dans la « facilité » d’un énième régime. 20 kg pour ma part à perdre. Mais sur une minus d’1,56m, c’est beaucoup… Je fais peut-être une bourde, mais je crois que j’ai besoin de perdre une dizaine de kilos avant d’entamer cette « thérapie » avec elle. Ou alors ai-je peut-être juste besoin de temps… En tous cas, c’est très déstabilisant de réaliser que derrière ce que l’on pensait être juste un pb de poids, il y a une dynamique bien plus profonde et ancrée en nous. Et des prises de conscience de traumas qui étaient restés enfouis jusque là… Bref, je suivrai ton cheminement avec avidité. Tu m’a déjà donné le déclic d’accepter d’être prise en photo avec mes enfants, peut-être le prochain déclic sera-t-til d’oser me lancer sur la voie de la réconciliation avec moi-même. Merci pour tes écrits. Ils sont comme un cocon, ils me rassurent. Bises Répondre
Merci beaucoup Sarah, pour ton ressenti et ton témoignage. Moi aussi j’ai eu envie de reprendre un énième régime, j’ai même eu envie de me faire opérer. Je lui en ai parlé et elle m’a répondu avec beaucoup de bienveillance, cela m’a fait du bien. L’exercice qu’elle m’a fait faire sur la faim m’a révélé beaucoup de choses, outre le fait que l’exercice m’a fait paniquer, le fait d’avoir son débrieffing, ses encouragements (en réalité, contrairement à ce que je croyais, j’ai réussi l’exercice puisqu’on ne pouvait pas l’échouer! ^^), j’ai réalisé que je peux avoir confiance en mon corps et cessé de manger pour les mauvaises raisons (l’anticipation, la peur de moi-même, etc, etc…) J’étais prête à arrêter aussi, parce que ça remue beaucoup de choses et à l’approche de l’été, avec toutes ces injonctions à la minceur qui viennent de partout, j’envisageais de reprendre WW ou d’appeler un chirurgien (toujours dans la mesure!). Mais en fin de compte, je vais persévérer parce que je me sens prête. Je ne l’aurais pas été il y a 1, 3 ou 8 ans. Alors laisse toi le temps qu’il te faut. Cette méthode remue, bouscule, bouleverse, déstabilise… C’est dur à affronter, je trouve. Plein de courage à toi et merci! 🙂 Répondre
Merci pour ta réponse… De la patience, du temps, de la bienveillance… J’y travaille. Je ne suis pas encore tout à fait prête à affronter ce que cela remue en moi… En attendant, je suis tes aventures ! 🙂 Répondre
Ouch, l’article qui me met en pleine face tout ce que je refoule régulièrement ! Le « allez, deux ou trois kilos en moins et tu seras parfaite » fait particulièrement mal. Je l’ai entendu toute mon adolescence. De la part de ma mère, et de ma grand-mère… pourtant dans une famille que je pense « saine » d’un point de vue global. Finalement j’ai fait une phobie scolaire, je ne pouvais plus marcher, j’ai été très malade… et j’ai perdu cinq kilos. Qu’est-ce que ma mère était fière de moi ! Et puis quelques années après, +25kg. Ma mère ne me dit plus rien. Au moins c’est mieux que de la voir constamment surveiller mon assiette… Je ne lui en veux pas, nos parents font tous des erreurs. Par contre je me suis jurée que JAMAIS je ne ferai de réflexion à Léonie sur son poids juste pour une question d’esthétique. Je tiens à ce qu’elle mange équilibré, qu’elle fasse du sport. Mais son corps, je ne le jugerai pas, même si ça me brule les lèvres. Je suis heureuse d’apprendre que tu cherches à être juste bien comme tu es. Tu as raison de te trouver canon, tu es très jolie. Hâte de savoir d’ici quelques semaines / mois comment ça évolue. Mais pas trop de pression ! S’aimer soi c’est comme aimer l’autre, pas évident tous les jours, pour des raisons différentes, et il y a des hauts et des bas… L’essentiel c’est l’envie d’aimer (mille pardon pour la référence musicale pourrie). Plein de bises Répondre
Nos parents ne sont pas parfaits non, et je comprends que tu ne leur en veuilles pas pour cela. 🙂 Ici c’est plus complexe, et sans lui en vouloir (j’ai bien d’autres griefs plus graves), je sais que mon surpoids ne sort pas de nulle part. Merci pour les références pourries lol! 😉 Je te souhaite plein de belles choses à toi aussi! Répondre
Bonjour, vous semblez avoir bien cerné vos attentes, vos besoins, vos refus. C’est une belle réussite en soi ! Sans vouloir offenser ceux l’ont faite, je ne comprends sincèrement pas la chirurgie bariatrique : si je ne me trompe pas, les capacités alimentaires étant rendues anormalement faibles, cela revient à faire pour la vie un régime ultra sévère, non ? Sans compter tous les risques corolaires. Enfin je dis ça, je ne suis pas à leur place, et chacun fait comme il le sent. Moi non plus je n’aime pas qu’on me fasse la leçon ! La solution que j’ai choisie pour devenir « une obèse mince » (un médecin m’a appris qu’on est physiologiquement en quelque sorte obèse pour la vie) est de changer mon mode de vie pour toujours, mais si elle me convient ce n’est certainement pas une vérité absolue. D’ailleurs je ne me trouve pas mieux qu’avant, presque moins bien à certains égards, par contre je suis littéralement « bien dans mon corps », qui ne me fait plus atrocement souffrir au moindre mouvement, point de départ de mon envie de changer. Il n’y a pas de recette universelle au bonheur, ni à la beauté ou à la santé, cela se saurait ! Bref vous avez raison, aimons nous, et aussi notre prochain, ça ne peut pas faire de mal (sauf s’il nous saoule trop auquel cas une petite paire de claques thérapeutique…:p) Répondre
Héhé! Pour la chirurgie, je crois que c’est la solution du désespoir. Quand on est trop malade, qu’on en peut plus, qu’on a tout essayé… Je ne tire pas un trait dessus, si ma santé commence à partir à volo, je me pencherai sur la question… Je crois qu’il faut une énorme dose de courage pour décider de se faire opérer car, comme vous dites, cela change radicalement sa façon de s’alimenter. Personnellement, je ne suis pas prête à de tels sacrifices si ma santé ne l’exige pas. Répondre
Bonjour, si tu es en obésité morbide comme tu le dis ta santé est déjà en péril. Je suis d’accord, il faut beaucoup de courage, ce n’est pas une décision facile a prendre, j’ai mis deux ans et demi à prendre la décision de me faire opérer. La première fois que mon medecin traitant m’a parlé de la chirurgie bariatrique j’en ai pleuré, c’était hors de question, c’était pour moi une boucherie, une mutilisation. Puis, l’idée à fait son chemin, avec des rencontres, de la recherche d’information et surtout le choix du bon chirurgien. Je prenais davantage de risque à rester comme ça qu’en me faisant opérer. Je me suis fais opérer d’un by pass il y a deux ans et demi, ma vie a complétement changé, je suis passée de 123 kilos à 60 kilos pour 1m65. Je ne survis plus, je vis à 200% et surtout j’ose ! Oser c’est vraiment le mot clé pour moi par rapport à cette opération ! J’ose courir, j’ose l’accrobranche, j’ose le vélo, j’ose les sorties scolaires avec les enfants, j’ose les parcs d’attractions, j’ose la piscine et les virées shopping entre amies, J’ose les robes, j’ose être féminine, bref j’ose être moi, tout simplement ! Mes enfants et mon mari sont tellement contents de cette transformation, je me sens mieux, je suis apaisée. Je ne suis plus la maman assise sur un banc au parc, je joue au foot, au basket… Il y a 3 ans j’étais tout le temps essouflée, je me faisais des entorces aux chevilles plusieurs fois par an, aujourd’hui je cours 5 kilométres 3 fois par semaine. Je viens de m’inscrire à la course La parisienne. C’est une nouvelle vie que je mords à pleines dents. Avant je m’oubliais complétement, maintenant je me fais plaisir. La carapace que je m’étais forgée a disparu, je me sens plus à l’aise, mes relations amicales et professionnelles ont pris un nouvel essor, quand on s’aime enfin, on prend confiance en soi et les barrières tombent. J’avais aussi beaucoup de colère en moi, le fait d’en être arrivé là, à ce poids, le regard des autres, je maigrissais de 20 kilos, j’en reprenais 30 voir plus… Aujourd’hui je me sens sereine, apaisée. Bien sûre le chemin n’a pas été uniquement pavé de roses : J’ai enormément angoissé avant l’opération Apprivoiser mon nouveau corps, les nouveaux regards n’a pas été facile au début, la reprise du sport, notament du fitness m’a beaucoup aider à me sentir mieux dans ma peau. La fatigue est présente certains jours, mais rien d’insurmontable. L’opération n’est pas un coup de baguette magique, il faut modifier ses habitudes alimentaires, faire du sport et être suivi médicalement à vie. Niveau alimentation : il n’y a rien de contraignant, je mange de tout mais en petite quantité. Je ne dois pas boire une demi-heure avant les repas, ni une demi-heure après. Seul interdit : les boissons gazeuses qui sont à proscire à vie. Je dois prendre des vitamines à vie : 2 gélules par jour ce n’est pas la fin du monde. Le mot régime n’existe plus, je mange sereinement sans scrupule. Je suis très bien suivie par une nutritionniste et mon chirugien avec des prises de sangs tous les 3 mois au début, tous les 6 mois, puis maintenant tous les ans pour vérifier d’éventuelles carences. Bref, tu l’as compris, je ne regrette absolument pas mon opération ! Mon seul regret c’est de ne pas l’avoir fait avant (je me suis fait opérer à 40 ans). Je n’essaie pas de te convaincre, je voulais juste te raconter mon parcours. C’est ton terme « solution du désespoir » qui m’a fait trésaillir, car me concerant je dirais plutôt que ça été la solution de l’espoir. L’espoir de pouvoir commencer une nouvelle vie, d’être en meilleure santé. Mon chirurgien me dis que j’ai gagné au grand minimum 10 ans d’espérance de vie. Répondre
J’ai surtout utilisé ce terme parce que je pense que pour en arriver à la chirurgie, il faut avoir tout essayé et se trouver dans une sorte de « résignation ». Cela n’empêche aucunement le courage qu’il y a derrière cette décision, bien entendu. Pour le moment, je ne suis pas prête. Je ne pense pas « avoir tout essayé ». Mais j’en ai parlé avec ma diététicienne, et on s’est mise d’accord pour dire que si d’ici un an ou deux, je n’ai fait aucun progrès, alors je songerai sérieusement à la chirurgie. Je veux me laisser une chance de tenter la bienveillance et l’acceptation. Tout en m’autorisant à échouer également dans cette voie! Je vous félicite pour votre parcours qui force le respect et qui, bien évidemment, fait un peu rêver, vu ainsi! 🙂 Répondre
Merci pour ta réponse. Sache que le processus pour se faire opérer est très long en tout cas. Je te souhaite de réussir ton parcours, merci de partager tout cela avec nous. Au plaisir de te lire. Mélanie Répondre
Comme tu le dis, « nous nous ressemblons beaucoup ». La proximité de publication de nos deux articles et d’ailleurs assez rigolote. Je pensais pas que je réussirais à avoir les mots justes un jour tout en étant suffisamment concise sur mon blog pour parler de mon trouble sans faire chier les lectrices. Ton mental te poussera toujours du mauvais côté de la balance pour tester tes limites, et voir si vraiment tu es plus forte que lui. Je pense que nous avons sans doute des Ego qui nous « challenge » beaucoup plus que ceux des gens n’ayant pas de problème d’amour propre. C’est comme ça, ça fait partie de nous. Ton chemin en tout cas mérite d’être salué, tu fais un beau parcours. Répondre
C’est la réflexion que je me suis faites, quand j’ai lu ton article, je venais de finir le mien (je n’ai pas plagié, promis…;-)) Mon mental est une arme, à la fois destructeur et me poussant vers l’avant. Difficile à expliquer, la cohabitation n’est pas toujours facile! 😉 J’espère que nous vaincrons. J’en prends le chemin, j’en suis consciente et ça me fait « drôle » de voir que j’avance pour de vrai cette fois, tout en envisageant les bas et les hauts avec une certaine sérénité. Je te souhaite de trouver le chemin vers la paix également, même s’il est long et tortueux. <3 Répondre
Je me suis permise d’imprimer ton texte pour le faire lire à mes proches car il décrit EXACTEMENT mon histoire alimentaire. aujourd’hui je suis dans une démarche d’auto bienveillance mais même mes proches ne comprennent pas ce laisser aller (il suffirait que je me reprenne en main, un ptit régime et hop….) je suis tellement lasse… chez moi les mots restent bloqués, je ne peux donc pas expliquer comme tu le fais si bien. merci donc pour ce texte, merci pour tous tes écrits en fait, dans lesquels je me retrouve souvent, même si la vie m’a quand même plus épargnée que tpi. Répondre
C’est fait pour ça! Si cela peut aider ton entourage à comprendre, j’en serais ravie! 🙂 Le soutien des proche est tellement important dans une telle démarche… Mon mari a un peu de mal à voir où cela va me mener, mais il respecte et me soutient. C’est précieux. Répondre
Te fais tu aider par une équipe spécialisée en éducation thérapeutique? Trop de pseudo professionnels pensent encore que de faire maigrir une personne obèse est la solution à tous ses pbs. Merci pour ton article Répondre
Quand on voit le lien bien établi à ce jour entre obésité morbide et antécédents d’abus sexuels, je trouve ça honteux que des soi disant professionnels proposent des régimes et parlent de » manque de motivation « Répondre
Oh la claque, comme cet article me parle! Je suis dans le même cheminement, c’est de loin pas facile tous les jours mais j’avance, petit à petit je crois… Vos écrits me font beaucoup de bien, un grand merci et bravo pour vos progrès! Répondre
ta phrase « C’est un cercle vicieux, plus on se déteste, moins on est capable de se faire du bien, plus on se fait du mal, plus on se réfugie dans la nourriture, plus on grossi, plus on culpabilise, plus on se déteste, etc, etc… »résume très bien la situation de beaucoup et quelque soit le poid . c’est en fait un sentiment intérieur à force d’avoir été mis à l’écart, d’être « rabaissé », « comparé » au lieu d’être juste apprécier par ceux que nous aimons..alors forcément adulte nous n’avons plus de repérés que ceux donner enfant ….. quand je pense qu’on subit tellement de chose et qu’on nous encourage pas , non ,toujours plus et encore plus , alors forcément physiquement ou psychologiquement cela ne fonctionne plus on ne se voit plus de la même façon. Et là encore on ne nous comprend pas . très très bel écrit que voici !du courage , tu ouvres ton cœur et on se retrouve forcément dedans pour une chose ou une autre . S’aimer semble facile alors que non c’est très complexe .Alors bravo !! pouvoir s’aimer ne pas se faire mal se détester cela vaux mieux que tout les régimes du monde !!!! (aussi bien que pour maigrir que grossir ) . Apprendre a s’aimer c’est le début d’un grand changement!!! apprendre a s’aimer c’est ensuite apprendre a avancer et se libérer du poids……sur ton cœur et je pense que tu en a eu gros !!! pleins pleins de belles choses a toi !! Répondre
Merci pour cet article, comme beaucoup de personnes, je m’y retrouve plus que bien. Personnellement, j’ai un parcours un peu inverse, je me suis toujours vu grossir mais sans essayer d’aller contre (je n’ai jamais fait de régime). L’acceptation ‘je suis grosse, c’est comme ça, si ça ne vous plait pas, regardez ailleurs !) s’est installée petit à petit. Quand je dis « acceptation » c’est d’accepter le fait d’être grosse. C’est une réalité aussi vrai que je mesure 1.80m. A ce jour, j’ai envie et besoin de maigrir car je me sens douloureuse dans mon corps et en quelque sorte bridée (endurance, résistance) Comme toi je passe par des phases CHIRURGIE puis « non faut que je m’accepte » puis « et si j’essayais de réduire ci, de manger + de ça » et encore « bon faut que je bouge + » (celui là ne peut pas faire de mal ceci dit :p) Bref.. C’est un très long chemin. Encore merci pour ton texte, c’est réconfortant de voir qu’on n’est pas seul(e)s. Répondre
Bonjour, J’avais du mal à aimer mon corps lorsque j’étais adolescente. Finalement, je me suis persuadée que d’autres personnes étaient moins bien faites que moi et que je devais m’aimer comme je suis. Ça m’a pris du temps, mais j’ai réussi. Répondre
Waow waow waow! Je te remercie pour tes articles qui me parlent beaucoup. J’ai un parcours similaire au niveau des régimes et effet yoyo. En quelques mots, mes troubles alimentaires ont commencé quand j’avais 4 ans. Après un abus sexuel (que je n’ai jamais osé avouer à ma famille), je me suis mise à manger des aliments blancs avec peu de goût et d’odeur (tu m’étonnes). J’ai osé les « couleurs » des aliments à la puberté (bien!). A cela s’ajoutent les remarques très encourageantes et bienveillantes de ma mère (qui a toujours fait preuve de beaucoup de finesse dans ses propos) ; elle me disait avec une mine de dégoût, quand j’étais enfant : « oh mais avec tes hanches si larges j’espère que tu ne vas pas ressembler à ta grand-mère paternelle!!! » (qui était très ronde). J’ai donc commencé mon premier régime à 12-13 ans car je me trouvais grosse, alors que mon poids était tout à fait normal. Aujourd’hui j’ai la cinquantaine, suis hyperphagique et… 40 kilos à déposer (je n’aime pas le mot perdre). Je consulte un diététicien du GROS depuis quelques semaines et te lire me fait chaud au cœur! Je nous souhaite sincèrement d’avancer sur ce chemin de réconciliation avec nos corps et me réjouis de lire tes prochains textes. Répondre
Beaucoup de courage à toi! Les mères peuvent être le pire poison (et les pères évidemment) quand il s’agit du poids… J’ai fait beaucoup de prgrès cet été et je vais en parler bientôt (je n’ai pas perdu un gramme, mais ça avance dans la tête, ce qui est déjà énorme!) Répondre