Tu trouves que DANIEL AUTEUIL SURJOUE ????? Dans ce film peut-être mais d’une manière, je le trouve tellement juste et bon…. C’est l’un de mes acteurs phares. Il est merveilleux. Mon film préféré est justement La Fille sur le Pont où il tient le premier rôle masculin aux côtés de Vanessa Paradis. En tout cas, ta critique m’a convaincue de ne pas aller voir le film. ^^ Les films bienpensants qui vendent de la politique et du « stop le racisme, aimons nous les uns les autres » bourrés de clichés et suffisamment réalistes pour cliver les communautés d’autant plus : ça me gave ! Répondre
Je n’aime pas Daniel Auteuil ! ^^ Le seul film dans lequel je l’ai un peu bien aimé c’est Manon des sources 😀 Je te comprends pour le film. Sur le point de la moralisation il est assez agaçant! 😉 Répondre
Merci pour cette critique du film -que je n’ai pas vu- par un œil averti ! J’avais un petit a priori face à la bande annonce et le coté hyper sexiste du » mec (blanc hétéro csp+) qui va aider la fille (rebeu, de banlieue mais belle hein…) » Du coup, tu confirmes cet apriori… Et sinon, je me sens moins seule, c’est la première fois que je « croise » quelqu’un qui n’aime pas le jeu de Daniel Auteuil !!! <3 Répondre
Ha ben je me sens moins seule aussi du coup!!! 😀 Oui, le film aurait tout aussi bien pu tirer parti d’un prof rebeu CSP+ qui va aider la petite blanche de banlieue. Là pour le coup, on aurait eu une inversion des clichés! (D’autant qu’on a tous eu un prof black ou rebeu CSP+) Ou mieux, LA prof rebeu CSP+ qui aide LE blanc de banlieue! ^^ Répondre
Pas sûr qu’il y ait des profs rebeu à Assas ;^) Et d’ailleurs, ce qui me dérange un peu, c’est que cela se passe à Assas. C’est clairement cliché (même si c’est un peu vrai, comme tous les clichés). J’avoue, je n’ai pas vu le film, mais ce que tu en dis me semble logique pour ce genre de film à grand spectacle. En plus, tu as pu juger de l’intérieur. Répondre
Oui oui complètement, Assas c’est LE cliché niveau Droit!! Pour moi qui le vis de l’intérieur, justement, j’ai trouvé le film d’autant plus cliché qu’à Toulouse comme à Poitiers on a des profs maghrébins, noirs, blancs et des étudiants maghrébins, noirs, blancs… Le mélange n’a jamais choqué personne et quand on voit la liste des admissibles au CRFPA on retrouve cette mixité sociale dans les noms de famille, preuve que personne n’a besoin qu’un prof blanc méprisant et de droite le prenne sous son aile! :p Répondre