L’autre jour, je discutais avec mon mari, et il m’a fait le plus beau compliment qu’on puisse me faire, il m’a dit que ce qu’il aimait le plus chez moi, c’est ma faculté à aller de l’avant, toujours. Ca m’a fait plaisir parce que je pense effectivement que c’est quelque chose qui me caractérise. J’ai des tas de défauts, mais j’ai cette qualité là, d’être quelqu’un qu’on ne peut pas
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Dans les trois précédentes parties, on a vu comment on en arrivait à grossir autant (enfin, comment moi j’ai fait ça), les raisons pour lesquels on grossit (mes raisons à moi, encore) et pourquoi il faut s’accepter avant toute velléité d’amincissement. Cette fois, je compte aborder l’inverse. Les raisons qui nous poussent à vouloir maigrir. Il est essentiel de les identifier pour être raccord avec son projet de perte de
Aujourd’hui, on va voir quelle est, selon moi, la clé essentielle pour maigrir. (Je te la joue cours magistral, mais t’inquiète, je n’ai aucune leçon à donner!) Alors, soyons clair, n’ayant jamais encore réussi à maigrir durablement (ou si mais en étant sous diète permanente) je ne pense pas détenir la clé POUR maigrir. Je sais comment faire hein, comme tout le monde, mais je n’ai encore jamais réussi. (Mais
Avant-hier, tu as pu lire la première partie de ce long pamphlet sur la prise de poids et comment lutter contre les troubles alimentaires, ou du moins savoir comment on en est arrivé là. Donc maintenant que tu connais mon historique à moi (et ça te fait une belle jambe n’est ce pas?) je vais t’expliquer les raisons de cette prise de poids, de ce rapport trouble avec la bouffe.
Hier, je discutais sur Twitter avec des cops virtuelles, Mamans Testent, Maman sur Terre et Petit Trésor pour ne pas les citer. On discutait vaguement gros popotin et poids en trop, difficultés de savoir pourquoi on a grossi et comment entamer la lutte anti-capitons. Et elle m’ont encouragé à rédiger un billet sur le « comment » de ma prise de poids, me disant que ça pourrait peut être en aider certaines…
Euh oui, encore un billet… Je me désintoxique par l’excès, on verra si ça marche! Aujourd’hui, j’ai reçu un courrier de mon avocat. Si tu me lis depuis un moment, tu sais déjà que mon enfance a été pavée d’horreurs et que ma vie d’adulte a commencé par un combat acharné avec le monstre. J’ai porté plainte il y a plusieurs années de cela, et je vois enfin le
Dimanche, j’ai 30 ans. Au début, ça m’angoissait, puis j’ai arrêté d’y penser, et là, ça m’angoisse à nouveau (je suis psychotique mais je me soigne). 30 ans, ça change quoi? En fin de compte, pas grand chose j’imagine (j’aimerai toujours enfoncer les portes ouvertes, par exemple!) 30 ans, c’est surtout l’occasion de faire un bilan… Qu’est ce que j’ai fichu de ma vie depuis que je suis adulte (ou
Ne me demande pas le rapport, je trouvais l’image sympa! Aujourd’hui, on entend souvent parler d’accouchement sans douleur, de naissance sans violence, de l’arrivée de la vie en douceur… Je n’ai rien contre ces pratiques (y ayant moi-même eu recours, ce serait le comble!), c’est le nom qu’on leur donne qui me choque. Comme si mettre au monde un enfant pouvait se faire tranquillement, comme on va à la pêche
Sur les blogs de maman, on parle surtout des mamans, des bébés, et de la relation entre les bébés et leur maman.Et le papa? Le papa est souvent un grand oublié.Dans les livres de puériculture, on leur consacre un chapître, et c’est tout, le pire est que ce chapitre est en général destinée aux mères, pour comprendre ce qui se passe dans la tête de leur compagnon. Je ne fais
Depuis toute petite, pas grand chose ne me résiste.Je réussi à peu près tout ce que j’entreprends avec conviction… Plus ou moins rapidement, plus ou moins brillamment. Mais je réussi.Mes études, l’éducation d’un bébé toute seule, trouver le mari idéal, peindre des trucs qui ressemblent presque à quelque chose, le meilleur fondant au chocolat du monde…Quand je décide d’y arriver, j’y arrive, j’y mets les moyens du moment que la